sábado, janeiro 11, 2020

O contexto que nos rodeia

Há dias vi uma peça criada pela RTP sobre as previsões para a economia portuguesa em 2020. Na altura fiquei embasbacado ao ver que falavam num crescimento de 2% do PIB. O orçamento de estado para 2020 prevê 1,9%.
"Le scénario se répète pour la quatrième année consécutive. Les défaillances d'en-treprises vont continuer d'augmenter en 2020 à l'échelle mon-diale, prévoit le leader de l'assurance-crédit Euler Flermes dans son baromètre annuel publié jeudi. Certes à un rythme moins soutenu - la hausse anticipée est de 6 %, après 9 % l'an dernier -, mais plus global. Sur les 44 pays couverts par l'étude - qui représentent 87 % du PEB mondial - quatre sur cinq vont subir une degradation. La raison principale tient « au ralentissement de la croissance mondiale, déjà observé en 2019 et l'effet de la guerre commerciale », explique Maxime Lemerle, directeur de la recherche sectorielle. « Les entreprises sont confrontées à une baisse de la demande et à plus de compétition qui se ressent sur leurs marges, en particulier dans les secteurs industriels », poursuit-il.
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Un zoom géographique montre une prédominance de l'Asie dans les faillites, avec la Chine en première ligne
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Si la France s'en sort mieux que ses voisins européens, 2020 devrait marquer un tournant. C'est la première année depuis 2016 que les défaillances ne baissent pas. Elles devraient stagner, contre une hausse de 3 % en Allemagne et au Royaume-Uni, de 4 % en Italie et de 5 % en Espagne."
Esta semana tive oportunidade de ver em primeira mão o impacte da travagem alemã. Empresas portuguesas sem encomendas, aumento tremendo dos prazos de recebimento entre fornecedores e subcontratados portugueses.

Estar atento ao contexto (oportunidades e ameaças) para não contar com o ovo no cú da galinha.

Trechos retirados de "Les défaillances d'entreprises dans le monde vont continuer à se multiplier en 2020" publicado no Le Figaro de ontem.

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